C’est la nouvelle tendance du moment : les pays africains ont de plus en plus recours aux obligations islamiques, les Sukuks, pour financer leurs projets de développement notamment dans les infrastructures. La réussite des premières opérations sukuks a confirmé cette dynamique aux perspectives encore plus prometteuses puisque le potentiel de cette niche est estimé à plus de 700 milliards de dollars en 2017.
C’est le Soudan qui fut le premier pays du Continent à se lancer dans l’émission des Sukuks, en 2007, à une époque où la finance islamique ne suscitait encore guère d’intérêt, surtout en Afrique
Par Aboubacar Yacouba Barma | 10/04/2017, 17:13